Première partie : Le demi plan d'erythnul

Un groupe hétéroclite d'individu amnésique sont envoyé en mission par le prieuré d'eurydis dans la bourgade de valombre afin d'éclaircir un "mystére" afin de défendre les valeur de la philosophie.

LA PHILOSOPHIE dixit eldwin klivan



La philosophie, mère de toutes les pensée
créée par des hommes d’un temps passé
Ecrasant ainsi les croyances et la foi
Enterrant ainsi le mystique et le don de soi

Ceci est l’histoire des voix qui se sont élevées
Face à la tyrannie du prieuré
L’apprentissage de la vraie loi
Par l’amour, l’amitié et le combat.

Dans le paisible territoire des vaux
Pour les âmes perdues, quelqu’un pleur
Des larmes rouges de sang chaud.
L’ange de pierre déchu se meurt !

Dans le village de Valombre
Des figures fantomatiques passent
Meurtri dans leur mémoire sombre
Envoyé ici pour que tout mystique trépasse

Bien que le jour soit tranquille
La nuit dévoile sa noirceur
Les disparitions d’enfant sèment la terreur
Ainsi que des spectres qui rodent en ville

Interrogeant villageois et maire
Examinant les indices du matin au soir
Creusant autour de la statue de pierre
Dévoilant ainsi des éléments notoires.

Le sang de la statue analysé
Dévoile son sens de l’humanité
Les villageois creusent et déterre
Autour de la statue plane le mystère

L’enquête sur l’ange déchu commence
Avec des héros sortant des pensées de démence
Un groupe choisi pour exterminer( ou examiner)
Un groupe choisi par le prieure

Le premier est Enkel, demi-elfe voleur
Moitié fou, moitie sot, il est sans peur
Maître potier de ses mains il peut créer
Téméraire de ses mains il peut tuer

Le second est un elfe de sang pur
Gris est son origine, noir est son passé
Du vol il en a fait son métier
Ashrin sur toi pèse le futur

Le troisième est aussi violent que petit
Tarok, dangereux nain poilus
Tarok le maître forgeron impoli
Frappe et estropie tous les mal-venus

Le dernier est un magicien mortuaire
Carline le nécromancien aime la pierre
Cette pierre tombal qui recouvre notre mort
Qu’il soulève pour y puiser ses sort

Le petit groupe d’âmes vide
Enquête sur la statue morbide
De leur fouille jaillie une vérité
La philosophie n’est pas ce qu’il paraît !

SORTIE DE VALOMBRE
Dixit Eldwin Klivan


Apres avoir acheté de l’équipement
Et pris un repas de titan
Le groupe partit de valombre
Pour élucider les questions de leur mémoire sombre

Les bois de leur feuillage touffu
Renferme des secrets des plus inattendu
Autel sacre au milieu d’une clairière
Recueil des offrandes des elfes en prière

S’interroge alors deux des compagnons
Voici une trace d’un lointain passé
L’histoire de leur peuples leur ont été effacé
Par Eurydice et sa faction


chap. 2

Ce chapitre n’a pas de nom
Car comment exprimer tant d’aversion
Le silence d’un titre est plus puissant
Que mille mots les plus puissants

Car cette partie de l’aventure
est pire que les flammes de l’enfer
Ignoble dans cette horrible ??
que l’action humaine peut faire

Ecoutez-moi bien auditeurs !
fermez vos yeux a cette heure
entendez le récit du témoin
et imaginez le dans tous ses recoins

Que les enfants partent sur le champs !
Que les femmes couvrent leurs tympans!
Que les vieillards masquent leur sagesse
et que les hommes écoutent avec hardiesse

imaginez un trou de pierre
ou l’odeur de la mort est omniprésente
ou le noir absorbe toute lumière
maintenant avec nous vous allez descendre cette pente

Vos pieds baignent dans une matière liquide
Vos yeux à peine éclairés d’une torche placide
Distingue le flot du vice de la philosophie
Tortures, douleur, mort coulent avec harmonie

Je pressens ta réaction auditeur
Ton sang est glacé d’effroi
Pense alors que le pire est bien plus bas
Ce ne sont que les prémices de la peur

Nous marchons plus profondément
Pièges sordides et malfaisant
Ou tuer les hommes de Rufus l’érudit
Empale avec des lames cache avec minutie

Soyons attentif, les pièges sont dissimule
Auditeur fait attention ou tu mets les pieds
Car a chaque pas tu risque ta vie
Ton tombeau sera lie à la philosophie

Mais pendant que tu pense à la mort soudaine
Tu aperçois une porte en bois d’ébène
Ta curiosité te pousse à entrer
Avec précaution ta main touche la poignée

Les gonds glissent et offre une nouvelle vue
Une large pièce remplie de baignoire et d’étagères
Etrange endroit enterre sous terre
Peut-être les trésors ici sont cache des mal-venu

Le Juda de Genova



Les genovien avance vers l’église sainte
Sur les plaines verdoyantes de faerun
Dans la nuit noire envahit de crainte
Seulement éclairée par la foi et la pleine lune

Les meurtriers de l’amour et de la liberté
Tel des rapaces attendent pour attaquer
les compagnons avancent lentement vers le piège
Les shadow-sbire sont près a lever le siège

Le barde prudent longe la route
Se dirigeant prestement vers la foret
La foi le guidant sans doute
Ses pieds foulent l’herbe grasse et verte

Mais, qu’y a t’il au milieu du chemin ?
Trois ombres assises autour d’un feu de pin
Oui ! un gnome et deux infâmes orques
Le sang boue chez le nain tarok

A dos de mule il charge les monstres verts
Ses compagnons le suivent ventre a terre
Le combat se termine en peu de temps
Et les infâme meurent dans leur sang

Le barde a la lisière de la foret
Entend du bruit qui le rend inquiet
Ses compagnons eux témoignent d’un certain émoi
Car Les ennemis tués se transforment en villageois

Illusion ! ceci est un piège
Mais seul le barde voit le cortège
Quarante shadow-sbire sortent de leur nid
Fanatiques armés d’hallebarde et de fusil

Le ménestrel surpris coure vers les compagnons
Il cri et hurle pour prévenir ses amis
Le groupe alerte par autant de bruit
Regarde et vois les spectres de la contagion

Ashrin et tarok a dos de mule fuient
Le malicieux sorcier gurthang suit
Le necro, enkle et le moine
Couvrent le barde dans la bataille

Le bruit des fusils éclate les tympans
S’abat alors une pluie de plomb
La mule tombe toucher par les grêlons
Les héros eux sont épargnés miraculeusement

Les shadow-sbire charge l’arrière garde
Dos a dos les quatre héros stoppe la charge
Epées et hallebarde s’entrechocs
Submergé les héros restent en bloc

Ashrin et tarok de leur monture morte sont tombe
Voient alors leur camarade en difficulté
Charge à leur tour les ennemis
Coupent taillent et écrasent la philosophie

Mais ou est le sorcier ?
Il cour au loin, hors de porte
Il fuit et laisse ses compagnons
Au milieu d’autant de fêlons !

Une bruine blanchâtre de souffre
Flotte dans l’air de cette nuit douce
La pleine lune éclair les giclées sanglantes
Et le fracas des lames rougeoyantes

Le traître, le fourbe est parti
Compagnon et amis se sentent trahis
Au milieu de la bataille de Genova
A six contre quarante il faut avoir la foi

Le nécromancien use de ses sorts magiques
Le moine inonde de coup fantastique
Nain et voleur coupe et taille
Paladin et barde tape et défaille

Le nécromancien meure en héros
Se sacrifiant pour son ami
Ashrin revient donc a la vie
Vengeant la vie donne par le nécro

Le nain blesse tombe aussi
Le barde accule ne peut résister
Le roc de départ a cédé
Car le paladin tombe encore dans l’oubli

Nain et voleur se battent avec ferveur
Mais là, surprise, qui vient ainsi ?
le traître, le félon n’a plus peur
il revient tel un sauveur avec sa magie

le moine va aider les compagnons
Qui sont tombe à l’unissons
debout les blessés combattent
enfin la victoire éclate

le nécromancien est mort dans le pire
les autres sont blesse profondément
pas par le fer des shadow-sbire
Mais par la trahison du sorcier dément

le traître a un nom, le félon a un visage
écoutez bien ce conseil si vous êtes sage
car a cote de vous se trouve un Juda
gurthang est le Juda de Genova