Genova le repenti, la rose sanglante
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Genova le repenti, la rose sanglante

La taverne de la Rose
 
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 L'histoire de Thorin Oakenshield

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Thorin
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Thorin


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MessageSujet: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeMar 6 Mar - 14:30

Je m’appelle Thorin Oakenshield, je suis un Duergar, également appelé Nain Gris. Je suis né dans l’Outreterre du nord dans les profondeurs qui domine le Grand Glacier, près de la cité de Gracklstugh, la première ville fondée par les nains gris après qu’ils se soient libérés du joug des Illithids. Je n’ai jamais connu mes parents. Mon éducation fut prise en main par les femmes de mon clan jusqu’à la fin de mon enfance. Puis, les hommes m’emmenèrent dans les mines pour développer ma force physique. A la fin de mon adolescence, je passa le teste de survie dans les galeries seul pendant 1 an avec succès, appelé l’Année du Silence. A la suite de quoi, je choisis mon nom comme le prévoit la tradition. Ce fut Thorin Martelfer. Je devins un membre du clan, mais pas à part entière. Mon premier devoir fut de choisir ma voie. Je choisis de devenir un guerrier et de défendre la ville. Normalement, on aurait dû me donner une femme, mais n’ayant pas de famille, ce droit me fut refusé. Aucune famille ne trouvât d’intérêt à me donner leur fille, car je n’avais rien a apporté à sa famille.
Cet incident fut le déclencheur de ma déchéance parmi mon peuple. Par la suite, le sentiment de ne pas appartenir à ce peuple ne fit que s’amplifier. Les Duergars considèrent que la force est la loi prédominante, et ils n’hésitent pas à attaquer d’autres peuples pour le seul motif qu’ils sont plus faibles, ainsi qu’à faire preuve de cruauté envers les individus qu’ils ont asservis. Ils peuvent même en tirer du plaisir. De plus ils sont très rancuniers et complètement renfermer sur eux-mêmes, leurs relations avec les autres peuples se restreignant aux commerces et aux gains qu’ils peuvent en tirer, et encore il est rare que des étrangers arrivent vivants jusqu’aux villes des Duergars. Ces traits de caractères sont dus au mauvais traitements que les Illithids ont fait subir aux ancêtres du peuple Duergar. Ils pensent maintenant qu’ils peuvent faire subir aux autres races ce qu’ils ont eux-mêmes subi. Je ne pense pas comme eux. La force est un élément important du pouvoir, cependant elle ne doit pas être utiliser pour asservir les plus faibles, mais à les protéger. Ayant une certaine compassion pour les individus des autres races et trouvant abjectes les tortures et les humiliations constantes qu’ils leur faisaient subirent, je devins rapidement un paria pour mon peuple. Ainsi je fus banni de ma patrie, je porte les marques de cette différence sur mon visage et mon corps sous la forme de tatouages. Ils me mirent en esclavage. Mais je réussis à m’enfuir à la surface, les dangers dans l’Outreterre devenant insurmontables pour un nain seul.

Mais le chemin vers la surface n’est pas sans embûche, surtout lorsqu’on est seul. Je fut fais prisonnier par un groupe d’éclaireurs de nains d’écu. Le plus étonnant est qu’ils ne m’aient pas tué immédiatement, je ne saurais expliquer pourquoi, bien que la question me trotte encore dans la tête. Toujours est-il que le chef du groupe empêchât ses hommes de me tué et ils me ramenèrent dans leur cité. Après plusieurs jours de captivité, on me fit sortir de ma prison et l’on me proposa deux choix : la mort ou les travaux forcés. Je choisis la deuxième solution. J’appris plus tard que le chef du groupe d’éclaireurs avait demandé auprès du chef du clan que l’on me propose ce choix, les autres nains demandant ma condamnation mort. Ainsi je fut mis à contribution dans les mines pour extraire des métaux ou construire des habitations pendant dix ans. Ma vie à cette époque était beaucoup moins dure que celles que mes congénères réservent à leurs esclaves. Ils me nourrissaient convenablement, ne me tuaient pas a la tache, bien que le travail à la mine soit éreintant. Ils me permettaient même de me laver de temps en temps grâce à des bassins naturels de sources d’eaux chaudes. Au cours de cette période j’appris également à mieux connaître la culture de ses cousins pas si éloignés, et je constatais qu’ils avaient un amour sans bornes pour leur famille et leur clan. Toutes leur actions sont orientés pour le bien du clan, souvent au détriment de la personne. Leur philosophie me plut immédiatement, et je mis plus du vigueur et d’entrain a mon « travail ». De plus ils ont toujours du respect pour les autres races quelque qu’elles soient (sauf les drows et les duergars, à quelques exceptions près). Ils reçoivent les étrangers avec tous les égares qu’ils soient elfes, humains, halfelins, semi-orques, gnomes ou goliaths. La visite qui m’a le plus impressionnée et celle d’un dragon d’or. Ces créatures dégagent un aura de puissance, de sagesse et de bonté. Cette rencontre, même si je ne l’ai vu que de loin, ma touché au plus profond de mon être et a réveillé en moi quelque chose que je ne puis pas encore décrire.
Dix ans après mon arrivé dans la cité, un groupe d’orques réussit à passer les défenses avancées et a échappé aux patrouilles grâce à la magie. La plus part des guerriers étaient en patrouille dans les galeries. La ville était pratiquement sans défenses, les femmes et les enfants en grand danger. Les derniers officiers réunirent les derniers soldats pour organiser les défenses, mais quand les combats commencèrent, ils se rendirent compte que se ne serait pas suffisant. Ils firent appellent aux novices, mais la encore, ils étaient dépassés par le nombre. Alors je partis au combat, les mains et les pieds encore attaché par mes fers, j’attrapis un marteau sur un cadavre et je me jetas dans la mêlé. Je frappais toutes les peaux vertes qui passait a coté de moi sans me rendre compte que les autres nains se battaient à mes coté, je n’avais qu’une seule idée en tête : protéger le ville. Et cela passait par la mort des orques. Je me battis jusqu'à ce qu’ils n’en restent plus un seul, pendant quelques secondes ou plusieurs heures, je ne saurais le dire, mais quand enfin le dernier orque mourut, je posa un genou a terre, je repris mon souffle, lâcha le marteau et reparti vers la mine. La ville était sauvé. Quelques jours plus tard, le chef du clan me fit venir au palais. J’entrais pour la première fois dans cette magnifique bâtisse, tant par la structure que par la décoration. J’étais mitigé entre l’émerveillement que suscitait en moi la beauté du bâtiment et la peur de ce qui m’attendaient. Le chef du clan me dit qu’on l’avait mis au courant de ma bravoure et de mon courage lors de l’attaque des orques. Pour cette raison, le conseil clanique avait décidé de me nommé membre du clan, malgré mes origines, et pour l’officialiser j’étais adopté par l’officier qui avais plaidé ma cause lors de mon arrivé : le capitaine Oakenshield. Je fus tellement abasourdi par cette nouvelle que je ne put que tomber à genou sans dire un mot. Ainsi je devins un membre à part entière du clan et je conserva mon nom Thorin (qui signifie le « Nain Loyal »).
Les premiers temps furent très joyeux, pratiquement tous les autres membres du clan m’acceptèrent dans le clan. Ils y avaient bien quelques-uns qui n’étaient pas d’accord, mais la parole du conseil fais force de loi et chacun doit si soumettre. Donc je vécut la période la plus heureuse de ma vie. Je protégeais la ville, je travaillais à la mine ou la forge le jour et j’écoutais les comtes et légendes naines autour d’un feu de bois, entouré de ma nouvelle famille, une chope à la main le soir. Le temps passa très vite et la simplicité de ma vie me convenais parfaitement. Cependant ceci ne pouvait duré. Plus le temps passait et plus les tensions entre mon clan et les autres clans grandissaient. Les relations commerciales s’amenuisaient de jours en jours. Et tous ça à cause de moi. Donc un jour je décida de partir, sinon ma présence pourrait détruire le clan, et le clan est plus important que moi. Je fis part de ma décision a mon père d’adoption et au chef du clan. Ils l’approuvèrent, mais pas sans en être chagriné. Je fis mon baluchon et parti à la surface….


Dernière édition par Thorin le Sam 13 Juin - 18:39, édité 1 fois
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shadowmaster

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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeMar 6 Mar - 16:02

bravo j'aime beaucoup
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Thorin
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Thorin


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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeMer 7 Mar - 16:18

merci
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Eldwin
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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeJeu 8 Mar - 22:38

affraid

Génial thorin!!!
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Milo

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MessageSujet: background   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeDim 11 Mar - 20:53

me too tres sympa comme background!!!
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Milo

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MessageSujet: background   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeDim 11 Mar - 20:53

me too tres sympa comme background!!!
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Carline

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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeMer 14 Mar - 17:25

j'aime bien ton jeux de mot milo^^
me too tres sympa comme background-> mes 2 tres sympa....
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Eldwin
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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeVen 22 Juin - 16:44

thorin m'a dit qu'il allait faire des modifs dans son background...j'ai hateeeeeee
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Thorin
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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeSam 13 Juin - 18:40

En m’exilant vers le monde de la surface, je découvris qu’il était tout aussi cruel et dangereux que celui de l’Outreterre, seul change les créatures à l’origine du danger. Mais j’y est rencontrer des gens « bons ». Ils formaient la compagnie d’Urzet. Ils m’ont sauvé des mains de marchands, appelés les Thayens, qui m’avaient capturé quelques jours après ma sortie de l’Outreterre pour me vendre. Les gens de cette compagnie m’ont traité avec sympathie, malgré mon apparence qui aurait put les rebuter. Ils ont une quête à accomplir : libérer Genova des geôles de Bhaîne. Au début, je ne m’intéressais pas à leur quête, n’ayant aucune idée de qui était Genova et de ce qu’il représentait. Néanmoins, je me joignit à eux, étant donné qu’ils étaient les seuls alliés potentiels que je pouvais me faire, je n’avais pas trop le choix.
La compagnie d’Urzet voulait prendre le contrôle de plusieurs royaumes des Vaux pour combattre le Zhentarim, dont leur dévotion allait à Bhaîne. Je participais à leur combat. Ils avaient même décidé qu’ils me donneraient le pouvoir dans la région de Yulash, la ville située au bord de la rivière Tesh. La ville, ou plutôt la forteresse, de château Zhentil se trouve sur l’autre rive. Mais les Zhents les avaient devancés et ont envahi les Vaux jusqu’aux portes de Valombre. Nous avons réussi à stopper leur progression sur les territoires des Vaux, puis à les renvoyer d’où ils venaient. Au cours d’une bataille, l’état major Zhent disparu avec plusieurs membres de la compagnie, dont Carline le nécromancien et Eldwin, le barde drow. J’appris plus tard qu’ils avaient été emprisonnés et torturés par un Dieu dans un autre plan de réalité pendant un an, alors qu’il ne s’était écoulé qu’un mois sur notre plan. Même si je ne comprends pas tout à fait la signification de ceci, je me doute que ce ne doit pas être agréable.

Durant la période qui suivie, les membres de la compagnie restants repoussaient les Zhents hors des frontières des Vaux. Envinyatar, un elfe, et moi-même nous occupâmes de la ville de Valbalafre, ou l’état major Zhent avait été détruit. Après des discussions avec les différentes Guildes de la ville, nous réussîmes à les unir pour combattre les Zhents. Nous passâmes à l’attaque lors de l’exécution publique de plusieurs jeunes habitants de la ville par les Zhents. Cependant cette exécution cachait quelque chose de bien pire. Avec l’aide d’un habitant de la ville appelé Thanos, nous réussîmes à libérer les prisonniers, pendant que le mage Magus, appuyé par les habitants dans la capacité de se battre, s’occupaient des soldats Zhents. Puis apparu un démon au pied du mur du château. Il avait été invoqué par les Zhents. Etant sur les murs du château, Thanos et moi nous jetâmes sur lui et nous le terrassâmes. La bataille se poursuivit pendant quelque temps après la mort du démon, mais la résistance des soldats du Zhentarim était veine. Leurs chefs avaient été tués et ils étaient en infériorité numérique. L’heure de la défaite avait sonné pour eux. Beaucoup d’entre eux s’enfuir.
Lorsque le tumulte de la bataille s’apaisa, que l’on soignait les blessés et comptait les morts, il se passa une chose complètement inattendu : la foule m’acclamait et me demandait de devenir leur Roi. Sur le moment je ne savais pas quoi faire, trop surpris par une popularité que je ne me serais jamais attendu à avoir. Je leur demandais le temps de la réflexion. Ce n’est pas une décision que l’on prend à la légère. L’enseignement de maître de guerre m’avait formé à mener des troupes à la bataille, mais pas à diriger un royaume. De plus le commandement de la ville aurait dû revenir à Envinyatar car c’est un elfe et je suis un duergar. J’acceptais, en ayant plus de questions que de certitudes dans ma tête.

La protection de la ville serait assurée par des soldats de la ville de Croisemer, la capitale du val de Valbalafre, dont la ville dépend politiquement. Ne sachant pas comment gouverner, il me fallait des appuis à l’intérieur de la ville. Les guildes pourraient me fournir un peu de cet appui. Je décidais de légaliser officieusement l’activité de voleur, de plus les guildes de voleurs avaient permis de gagner la bataille et de libérer les prisonniers. Je ne pouvais pas les renier, l’honneur me l’interdisait. Ensuite, je remis en place les familles nobles qui avaient lutté contre les Zhents ou avaient été emprisonné par eux. Je leur rendis leurs terres plus une partie des terres des familles qui avaient juré allégeance au Zhents, ces dernières étant destituées de leurs droits. Enfin je donnais une partie du pouvoir de décision au peuple par l’intermédiaire d’une assemblée. Je pris beaucoup de mesures, notamment en ce qui concerne la politique d’émigration. La population de Valbalafre ayant subit une peste peu de temps avant, ainsi que la loi des Zhents, la ville était fortement dépeuplée. J’interdisais l’esclavage à Valbalafre. J’entrepris des travaux de réhabilitation du port et de ses docks, ainsi que des travaux de réfection et de reconstruction des murs de la ville et de son château. Bref, je mis beaucoup de mon attention à ce que mon pouvoir et mes décisions servent le peuple, et en particulier à rétablir la loi et l’ordre. J’espère réussir, ce qui me permettrais de m’intégrer à ce peuple et trouver un foyer, un endroit ou je pourrais poser mes affaires.

Après ma prise de pouvoir, le conseil de Croisemer m’a convoqué. J’y suis allé en m’attendant à beaucoup d’animosité face à mon accession au trône de Valbalafre. Mais ce fut beaucoup moins virulent que ce à quoi je m’attendais. Cela me perturbe. Je ne suis pas de sang royal et, qui plus est, je suis issu d’une race qui n’a pas bonne réputation. Ces gens essayent t’ils d’endormir ma méfiance pour mieux m’assassiner ? Attendent ils de voir ce que je vaux comme souverain avant de se faire une opinion sur moi ? Je ne sais pas. J’ai préféré me tenir tranquille lors de ce conseil, après tous je rentre dans un monde dont je ne connais rien. Bien que j’aie subi une tentative d’assassinat à Croisemer, je ne les crois pas coupables. Ce sont des gens intelligents, ils n’auraient pas commandité un assassinat dans les murs de leur propre ville.
Quelques jours plus tard, la ville de Valherse appela la ville de Croisemer au secours. Les soldats Zhents de Valbalafre qui avaient fui, s’étaient alliés à des orques et attaquaient la ville. Valherse se situe à quelques centaines de kilomètres au nord de Valbalafre. Envinyatar et moi-même partîmes aider la ville appuyer par des soldats de Croisemer. Sur place je fit la connaissance d’Ellariane Aubecorne, une elfe du soleil, qui était le chef du guet de la ville. Je m’entendit très bien avec elle, chose étonnante lorsque l’on connaît les relations habituelles entre les elfes et les nains, comme par exemple entre Envinyatar et moi.
Nous défendîmes la ville du mieux que nous avons pût et nous avons repoussé les Zhents et les orques. J’espère que cette action me servira au conseil de Croisemer pour assurer les nobles de ma bonne volonté à leur égard. Il ne faut pas oublier que Valherse avait pris le statut de port le plus important des Vaux après que Valbalafre fut en grande partie détruite par les récentes batailles contre les Zhents. J’aurais pu laisser Valherse se faire détruire et ainsi Valbalafre aurait peut être repris ce statut. Mais je pensais surtout aux habitants de Valherse qui auraient été massacré ou mis en esclavage sans notre intervention.

Carline et Eldwin revinrent du « plan des enfers ». Carline pris le pouvoir à la nouvellement nommée Valguerre. Eldwin essaie de « faire son trou » chez les pirates de la mer des Etoiles Déchues. Notre alliance permettra à Valbalafre de se remettre de ses blessures quasiment dans la tranquillité et la sérénité.

Eldwin avait réussi à intercepter un bateau Zhent qui s ‘enfuyait de Valbalafre. A son bord se trouvait des habitants de la ville qui avaient été emmenés pour être mis en esclavage. Je reçus une lettre du maître de la guilde de l’Etoile de l’Est, qui n’étais autre qu’Eldwin, qui me proposais un échange entre ces habitants et les prisonniers Thayens qui nous avions fait à Valbalafre. Au début je refusais, voulant récupérer les habitants contre un rançon et garder les prisonniers. Mais Eldwin voulait les prisonniers. Finalement j’acceptais son marché.
Peu de temps après, les Ménestrels nous envoyèrent en mission. Il s’agit d’une organisation présente un peu partout dans les Vaux sous les ordres d’une elfe nommée Oragie Main d’Argent. Elle nous demandât d’aller enquêter sur l’apparition d’une zone dans laquelle les magiciens ne pouvaient plus rien voir par l’intermédiaire de la magie. Elle se situait à quelques kilomètres au nord-ouest de Valherse. Nous nous y rendîmes. Je retrouvais Ellariane. Après cela nous sommes parti vers la zone suspecte. Nous avons trouvé une fortification abandonnée : le château de Valmont. Nous avons visité le château, n’y trouvant pas âmes qui vivent, mais de nombreux pièges. Finalement nous avons trouvé des prêtres de Bhaîne qui essayaient d’ouvrir un passage vers un autre plan démoniaque pour permettre le passage des démons vers notre plan. Nous les en avons empêché. Puis nous avons trouvé un nid de Kythons dans les souterrains. En fait le terme nid n’était pas approprié car il y avait plusieurs milliers de ces créatures. Ces créatures firent explosés le château de Valmont, ainsi que la montagne sur laquelle il reposait, par un moyen dont nous ignorons toujours tout. L’onde de choc fut énorme et atteignit la ville de Valhers, qui fut en grande partie détruite. Nous survécûmes miraculeusement à cet explosion. Nous sommes retourné à Valherse pour aider les survivants. Des Thayens vinrent pour, soit disant, fournir de l’aide. Nous leur demandâmes de partir, car ils ne voulaient qu’annexer la ville et la soumettre à leur pouvoir. Plus tard, je cherchas et trouvas Ellariane, mais elle n’avais pas survécue à l’explosion. Je récupéras son corps et la fit ressusciter. Puis je lui proposa de prendre le poste de chef du guet de Valbalafre. Elle accepta.
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Thorin
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MessageSujet: Re: L'histoire de Thorin Oakenshield   L'histoire de Thorin Oakenshield Icon_minitimeSam 13 Juin - 18:40

Après cela, je commis une grave erreur. Milo, le chef de la guilde de voleurs les Danseurs, avait trouvé une crypte de Bhaine dans les souterrains de la ville. Il demandât mon aide pour l’ouvrir. J’y allât avec Thanos. Je réussi à entrer dans la crypte en creusant un trou dans les parois à coté de la porte. Après un combat contre les gardiens de la crypte, nous trouvâmes un artefact de Bhaîne sous une cloche en verre. Je demandais à l’homme de main de Milo, qui nous avait accompagné, d’aller le prévenir. Un magicien arrivât quelque temps plus tard. Etant suspicieux vis à vis de cet homme, j’hésitais à le laisser seul dans la crypte, comme il me le demandait, sous prétexte de ce concentrer pour enlever les soi disant protections autour de l’artefact. Je détournais le regard à peine une seconde, mais elle suffit au magicien pour prendre l’objet et disparaître. Furieux, je traquais Milo dans la ville. Dans l’un de ses repères, les hommes de sa guilde tentèrent de me tuer, d’abord avec des armes, puis en incendiant la maison où ils se cachaient. Cet incident brûlât également plusieurs maisons autour. Milo me fut livré par Koldas, le chef de la guilde de voleur les Vas Nue Pieds. J’essayas de faire parler Milo sur ce magicien et l’endroit ou il se cachait, d’abord par la diplomatie, ce qui fut un échec, puis par la torture, ce qui me rebute, mais je pensais ne pas avoir le choix. Le danger immédiat provenant de ce magicien qui se baladait avec un artefact d’un dieu mauvais. Il parlât, mais le magicien avait depuis longtemps déguerpis. J’emprisonnais Milo. Quelques jours plus tard, il réussi à s’enfuir avec une assistance extérieur. Cependant plusieurs éléments trouvés dans la prison me font penser qu’il est parti contre son gré.
Plus tard, lors d’une enquête sur le chef de la guilde d’Astram, un marchand, je revît Milo. Nous avons localisé et pris d’assaut le château d’Astram, car Astram emprisonnait, torturait et tuait des enfants. Je trouvîs Astram en compagnie de Milo. Astram mourut lorsqu’une pierre du château lui tombât dessus. Le court dialogue avec Milo qui s’ensuivît me laisse à penser qu’il est manipulé par quelqu’un. Qui ? Ou quoi ? Je l’ignore, Milo ne m’a laissé aucun indice, mais il portait un anneau qu’il n’avait pas avant, et qui pourrait être une sorte d’anneau d’asservissement.
En torturant Milo, je me suis avilie, j’ai fait ce que j’exècre le plus. Je ne peux pas faire une chose que je punirais si elle avait été commise par un autre. Ce ne serais pas honnête. Je doit essayer d’obtenir la rédemption. Mais je ne sais pas encore comment. Cet acte me hantera peut être toute ma vie, jusqu’à mon dernier souffle.

La mort d’Astram laissait une guilde à l’abandon. Eldwin la repris en main et nomma une personne de confiance à sa tête. Il s’agit de Gladis. Cette femme est connue à Valbalafre. Ainsi la transition devrais se passer sans problèmes et devrais être acceptée par tous.
Les Thayens ont mis nos têtes à prix et ont lancé contre les Génoviens une bande de mercenaires puissants : l’Ordre de Karakas. Ma première rencontre avec eux c’est soldée par ma mort. Un minotaure du nom de Carnage est apparu dans la ville de Valbalafre. Il tuât plusieurs mercenaires et causât quelques dégâts. Je parti à sa rencontre. Il s’en suivi un combat au cours duquel je mourus. Mais je ressuscitas dans un temple. Ce fait ne vint pas de mes compagnons, trois roses furent déposées à côté de mon corps ressuscité. Carline m’appris que ces trois roses étaient le symbole de Genova. Ce dieu m’avait donc ressuscité. Pourquoi ? Je ne l’ai jamais prié, je ne connaissait qu’à peine son existence et encore moins sa religion. Carline m’expliqua qui est Genova, car il était un prêtre de ce dieu. J’écouta attentivement car, jusqu’à présent je ne l’avais jamais écouté sur ce sujet. Les idées prônées par ce dieu me convainquirent du bien fondé de la quête des amis. Ma foi et mon allégeance allèrent donc à ce dieu, car sa religion correspond à mes idées : accepter chaque personne tel qu’elle est.

Depuis ma conversion, j’aide Carline et les autres Génoviens à promouvoir la religion et les idées de Génova. Dans un premier temps nous sommes allés nettoyer deux forteresses Nétheryl dans le désert de l’Anauroch. Ces forteresses serviront d’encales aux caravanes de marchands qui veulent traversées le désert. En fait nous voulons faire une route qui concurrencera, pour finalement remplacer, la route du Zhentarim qui relie Eau Profonde et Chute de la Dague. Cette route est capitale pour le commerce car elle est la plus sûre dans cette région. En remplaçant cette route, nous priverons les Zhents de revenus importants.

Mais le point culminant fut la découverte d’une salle de torture, ayant servi contre Génova, près de la ville de Vallune. Ce lieu était sordide, comme toute les salles de torture. Lorsque je suis rentré dans la salle, un sentiment de profonde tristesse m’a envahi, à telle point que je me suis écroulé à genoux et que j'ai pleuré toutes le larmes de mon corps. Ceci est due à l’histoire de Génova, représentée par des fresques gravées dans la pierre des murs de la salle de torture. En sortant de la salle je me sentait plus fort, ayant put ressentir ce qu’était réellement Genova. La quête de mes amis devint ma quête à moi aussi. Ce sentiment de former un groupe unis est très puissant et notre alliance permettra, je l’espère, la libération de Génova.

Quelque temps plus tard, Mélia, la fille du conseiller Tarnan de Croisemer, et promise d’Envinyatar, a été enlevée. Carline, Envinyatar et moi-même sommes partis la secourir. Notre enquête nous a menés jusque dans les îles d’Alaor, petit archipel sur la mer d’Alamber. Là nous avons rencontré le seigneur Lanz. Il fait du commerce depuis sa ville, principalement d’esclaves. Au moment où nous sommes arrivés, il organisait une fête avec des concours de magie et de combat. Carline a participé au concours de magie et moi à celui de combat. Nous avons remporté nos concours respectifs. Avec mon gain, j’achetais une vingtaine d’esclaves aux marchands Thayens. Ces derniers ayant des commerces dans la ville du seigneur Lanz. Je m’arrangeais avec un capitaine de navire pour qu’ils soient emmener à Valbalafre ou je les affranchirais. Ensuite, le seigneur Lanz nous a indiqué que Mélia pouvait se trouver sur une île plus à l’ouest de la sienne. Vraisemblablement chez l’un de ses partenaires ou de ses concurrents. Nous nous y sommes rendus et nous avons trouvé une ville isolée, entourée par une muraille gigantesque. Elle est le repère du seigneur Arkeron, un autre marchand qui pratique le commerce d’esclaves. Ce seigneur a un passe temps des plus horrible. Il entraîne des monstres, ressemblant à de grand chien, pour traquer des hommes. Il propose à ses esclaves la liberté s’ils réussissent à survivre à la traque en imposant le point d’arriver. Procédé ignoble. J’aurais volontiers tué cet homme s’il c’était trouver sur le sol de Valbalafre et si je n’étais pas désarmer.
Nous entrâmes dans la ville après avoir « déposé » nos armes. Nous fûmes conduit devant le seigneur Arkeron par soldat nommé Elron. Le seigneur Arkeron était en discussion avec un marchand. Carline et moi le connaissons : c’était Eldwin. Il c’était présenter à Arkeron sous un faux nom. Carline et moi avons fait semblant de le rencontrer pour la première fois. Après une courte discussion, nous réussîmes à identifier Mélia parmi ses esclaves. Nous avons négocié sa libération et je suis descendu dans les geôles du château avec Elron, son bras droit, pour aller la chercher. Au bas des escaliers y menant, des orques nous ont attaqués. Je les tuais à mains nues. Elron ne bougeât pas. Arrivé au niveau des prisons, plusieurs d’entre elles étaient vides, dont celle de Mélia. Elle venait de se faire enlever, à nouveau. Elron remonta prévenir son seigneur alors que je poursuivi les orques dans le tunnel qu’ils avaient creuser sous le château. Je fut stopper par l’étroitesse des tunnels, je fit donc demi tour. En passant devant les prisons, je remarqua une jeune femme emprisonnée, vêtu d’une tunique en lambeau. On dit souvent que les plus belles fleurs poussent et s’épanouissent sur un tas de fumier ou d’ordures, je pensais que ça ne s’appliquais qu’aux plantes. Je lui demanda son nom et d’où elle venait. Elle me répondît qu’elle s’appelait Arkadia et qu’elle ne savait d’où elle venait. Je repartis et remontas jusqu’à la salle du trône. Le seigneur Arkeron avait été prévenu de la disparition de Mélia et avait annulé notre marché et rendu les objets que nous lui avions donné en échange de sa libération. Son honnêteté est à mettre à son crédit. Je lui achetais immédiatement Arkadia.
Puis il nous donnât les renseignements qu’il possédait sur les orques pour nous permettre de délivrer Mélia, qui se résumaient à deux entrés par des grottes dans le domaine des orques. Nous partîmes à la recherche des orques accompagnés d’Eldwin. Après avoir parcouru plusieurs boyaux nous trouvâmes un passage secret dans la paroi. Ce dernier menait à une salle dans laquelle des orques mettait de l’huile dans un entonnoir qui allait se déverser dans une rigole creusée directement dans les parois des tunnels jusqu’au château. Ils voulaient le faire brûler. Nous les attaquâmes, en tuèrent plusieurs mais pas tous. Les survivants, qui avaient eu peur de Carline, lâchèrent leurs armes. Nous les interrogeâmes et ils nous donnèrent le plan de leur tunnel pour nous conduire jusqu’à la forteresse souterraine, en évitant les patrouilles et les pièges. Leurs indications nous permirent d’arriver jusqu’aux portes de la forteresse sans encombre. Devant les portes nous fûmes attaqués par deux araignées des ombres. Nous les tuâmes. Nous pénétrâmes à l’intérieur de la forteresse sous l’apparence d’orques, Carline et Eldwin pouvant se transformer et moi je pris le chapeau d’Eldwin qui permet de se transformer en ce que l’on veut. Après plusieurs péripéties, une bonne dose de culot, un soupçon de ruse et le « talent » d’acteur d’Eldwin, nous trouvâmes les prisons, mais pas Mélia. C’est alors que la forteresse a commencé à s’écrouler. Carline à sorti un énorme squelette qui maintenais la voûte au-dessus de nos têtes en place. Je courus dans une autre partie des prisons chercher Mélia. Je la trouva dans la deuxième pièce. Je la libéra ainsi que les autres prisonniers et nous courûmes sous le squelette pour nous protéger. Ensuite, Carline nous téléporta jusqu’au porte de Valguerre, invitant ceux qui le voulaient à venir vivre libre dans les Vaux. Puis nous retournâmes tous les trois au château d’Arkeron. Eldwin avait encore des affaires à traiter avec lui et je devais aller chercher Arkadia. Enfin Carline nous ramena, Arkadia et moi, à Valbalafre : mission accomplie.

J’affranchis Arkadia et lui donna une chambre dans le château. En discutant avec elle je me rendis compte qu’elle n’avait jamais connu ni famille ni foyer. Sur ce point elle me ressemble. Elle n’a pas d’attache. Mais elle a beaucoup plus perdue que moi. Elle avait été vendue, échangée ou troquée depuis sa naissance, sa seule valeur marchande provenant de sa beauté. Chacune de ses actions n’était dictée que par le bon vouloir de ses maîtres, et non par sa propre volonté. Cette simple idée ne fait qu’exacerber ma colère face à la cruauté du monde. Je décidais de lui donner une protection et une éducation, en espérant qu’elle trouverait la liberté, car n’ayant connu que l’état de servitude, elle mettrait sûrement beaucoup de temps à se rendre compte de ce qu’est la liberté. Peut-être qu’aider les plus faibles, comme Arkadia et les esclaves que j’avais affranchis, est le premier pas vers la rédemption ? Et dans ce cas quel est le suivant ?
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