aussi lointain q mes souvenirs refont surface, le visage de mes parents reapparait, floue, comme cache par un voile obscure, probablement celui de l'oubli.
Mon pere etait aussi pâle que la mort, fraoid acerbe parfois colerique, mais tres bienveillant. Ma mere , pas totalement oppose mais qd mm par certain trait etait tres grande, tres belle comme toutes les femmes de sa race. Un accouplement aussi bizarre qu'imprevisible, au destin bien heureux puis trgique.